1st Pleasure CD 『Pico Magic』
Sorti le 4 mai 2003, Pico Magic est un album faisant office de compilation. On y découvre la DJ Picomari, déjà connue grâce à la piste bonus de Lost, qui nous a concoctée une petite sélection de chansons de Sound Horizon pour nous faire patienter jusqu'à Chronicle 2nd (prévu pour l'été) et le 4ème Horizon (prévu pour l'hiver). Les dates annoncées dans cet album ne seront par ailleurs pas respectées.
À partir de cet album, Jimangu est nommé "Jimang" mais Aramari reste avec sa première orthographe.
La tracklist est la suivante :
- お願いっ!ぴこ魔神☆ (Onegai! Pico Majin ☆, S’il vous plaît ! Pico le génie ☆)
- ぴこDJ☆ (Pico DJ ☆, Pico la DJ ☆)
- 詩人バラッドの悲劇 (Shijin Ballad no Higeki, La tragédie du poète Ballad)
- 辿りつく詩 (Tadoritsuku Uta, Un poème pour atteindre)
- 雷神の系譜 (Raijin no Keifu, La lignée du dieu du tonnerre)
- Ark [Pico Magic Ver] (L’arche [version Pico Magic])
- 魔女とラフレンツェ [Pico Magic Ver] (Majo to Lafrenze [Pico Magic Ver], La sorcière et Lafrenze [version Pico Magic])
- 魔法使いサラバント (Mahoutsukai Sarabanto, Sarabante, le magicien)
- 恋人を射ち堕とした日 (Koibito o Uchiotoshita Hi, Le jour où j’ai tiré sur mon amant)
- 銀色の馬車 (Gin’iro no Basha, La calèche argentée)
- タナトスの幻想は終わらない… (Tanatosu no Gensou wa Owaranai..., L’illusion de Thanatos est sans fin...)
- 呪文解明!ぴこ魔神☆ (Jumon Kaimei! Pico Majin ☆, Explications des incantations ! Pico le génie ☆) [Bonus Extra Track]
- 輪廻の逆再生 (Rinne no Gyakusaisei, Recyclage inversé du samsara) [Bonus Extra Track]
- 高速の魔法使い (Kousoku no Mahoutsukai, Le magicien accéléré) [Bonus Extra Track]
- Chronicle 2nd CM (Publicité de Chronicle 2nd) [Bonus Extra Track]
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Cet album étant un doujin, il n'y a qu'à lancer la vidéo, l'audio est directement inclus.
Pico Magic, édition standard
Dossier complémentaire à Pico Magic
Ⅰ) Introduction
Sorti le 4 mai 2003, Pico Magic est le premier Pleasure CD de Sound Horizon. Il compile plusieurs chansons déjà connues du groupe tout en teasant Elysion et Chronicle 2nd. C’est lors de cet album que Jimangu devient Jimang.
Ⅱ) Les chansons
01. Onegai! Pico Majin ☆
Cette chanson sert à présenter de façon plus détaillée le personnage de Picomari, une DJ qui jouera pour nous des chansons de Sound Horizon.
À travers cette chanson, Picomari souhaite nous encourager.
On a aussi un passage à l’envers que l’on découvrira dans la version reversed d’Onegai! Pico Majin ☆, ce passage est présenté comme étant une incantation qui invoquera un génie.
02. Pico DJ ☆
Cette chanson vise à introduire les différentes pistes de l’album. Picomari les présente toutes en précisant d’où elles viennent.
Ainsi, [168p] Shijin Ballad no Higeki change de titre pour devenir Shijin Ballad no Higeki. Picomari précise que cette chanson a désormais une suite : Tadoritsuku Uta, qui sera présente dans la seconde version de Chronicle. Chronicle 2nd n’est ni une suite ni un remake, il s’agit plutôt d’une version complémentaire, tout ce qui est présent dans Chronicle est repris, on ajoute juste quelques détails.
Picomari présente ensuite Raijin no Keifu. De part le titre, on peut se douter qu’elle sera liée à [816p] Raijin no Hidariude. Juste après, elle introduit Ark, qui sera présente sous la forme de teaser pour le CD de la 4ème histoire, dont on ignore encore le titre.
Après cela, Picomari nous introduit Majo to Lafrenze, qui changera de titre pour devenir El no Ehon [Majo to Lafrenze] dans le 4ème album. Elle présente ensuite des chansons que l’on connaît déjà : Mahoutsukai Sarabante, Koibito o Uchiotoshita Hi et Gin’iro no Basha.
Enfin, elle présente la suite de Thanatos, Thanatos no Gensou wa Owaranai… avant de prévenir qu’il y aura évidemment des pistes bonus.
03. Shijin Ballad no Higeki
Cette histoire commence par la fin, procédé récurrent chez Revo puisque plus tard, de nombreux Horizons auront pour tout début la fin même de l’album, ou du moins les éléments nécessaires à sa compréhension. Pour ne citer que quelques exemples : le début d’Asa to Yoru no Roman est la fin de 11-Moji no Message, on a les événements majeurs de Moira dans la chanson Meiou -Thanatos- et de nombreux indices permettant de deviner la fin de Märchen dans Hikari to Yami no Märchen (le thème d’Elisabeth, les vers sans pronom personnel sujets à des doubles interprétations, ou même, pour aller un peu plus loin, le fait que Märchen chante avec Elisabeth dans Kono Semai Torikago no Naka de.)
On sait donc qu’il existe un très beau poème avant de nous expliquer ses origines. Le poème est assez clair dans son ensemble, sauf sur sa fin. Hazeri chante ce fameux poème, incarnant la femme.
04. Tadoritsuku Uta
L’introduction de la chanson se permet de présenter à nouveau Ballad en précisant que personne ne connaissait son prénom. Jimang nous introduit ensuite Luna, la femme que l’on suivra au cours de cette suite, on apprend qu’elle est aveugle. La seconde narration, faite par Aramari, nous présente la vie difficile de Luna en insistant sur son courage puisque, au lieu de maudire sa destinée, elle a préféré mettre sa peine dans des poèmes.
Dès le premier vers, on apprend que Luna est à la recherche de son amour. Plus le temps passe, plus ce poème, qui est son seul repère, perd de son sens.
À la fin du second couplet, Luna cite le nom de celui qu’elle aime : Endymio. Leur couple est une référence mythologique, couplant les mythologies grecque et romane. Il relate l’histoire d’amour tragique entre Endymion et Séléné (Luna dans la mythologie romane). Séléné était la déesse de la Lune et Endymion un mortel. Il fait le vœu, auprès de Zeus, de devenir immortel. Alors Zeus le fait s’endormir pour l’éternité et son corps reste éternellement jeune et beau. Ici, Luna étant aveugle, elle ne pourrait pas contempler le corps de celui qu’elle aime mais surtout, il n’y a aucun dieu, le sommeil éternel est donc évidemment la mort. Enfin, cette chanson étant la suite de Shijin Ballad no Higeki, on comprend assez facilement que le prénom de Ballad est Endymio, Endymio Ballad et que cette femme est Luna Ballad. Elle était pourtant défunte à la fin de Shijin Ballad no Higeki. Sauf que la réincarnation étant un thème très récurrent chez Revo, on peut se douter qu’elle s’est réincarnée et est partie à la recherche de celui qu’elle aime, dans l’espoir qu’il soit encore en vie.
Le refrain reprend le thème de Shijin Ballad no Higeki comme un leitmotiv.
La narration nous décrit une guerre, comme pour nous dire implicitement qu’Endymio et Luna ont été séparés par la guerre. On apprend qu’elle a retrouvé le geôlier qui avait gardé la cellule d’Endymio. La dernière phrase de la narration n’est pas finie mais on comprend très bien qu’Aramari parle d’Endymio Ballad.
Luna révèle que ce poème l’a aidée à traverser des épreuves difficiles et qu’il est bien le dernier poème qu’Endymio a écrit. Ensuite, elle s’adresse directement à la destinée, comme pour montrer qu’elle a pris sa revanche : même si je suis aveugle, j’ai ce poème.
La chanson se termine sur une note d’espoir pour Luna. Malgré les épreuves, elle sait désormais ce qu’elle voulait savoir. En revanche, il ne faut pas oublier qu’Endymio est mort.
Cette chanson sera reprise et modifiée dans Nein.
05. Raijin no Keifu
Dès l’introduction, on comprend que cette chanson est la suite de Raijin no Hidariude.
Ici, Jimang prend le rôle de narrateur à travers le petit-fils de la fin de la chanson, ayant grandi (oui, c’est encore compliqué mais vous comprendrez à la fin).
On apprend que tous les membres du peuple du dieu du tonnerre ont un tatouage sur le bras droit, pour se reconnaître.
Aramari commence le chant par une très belle phrase que l’on pourrait interpréter comme : plus on est faibles, plus on se regroupe vers une cible commune. Ça peut donc très bien être “l’union fait la force” mais la tournure “mouton à sacrifier” laisse plutôt sous-entendre que l’on méprisera la seule personne dont on ne voudra pas.
Cela semble d’ailleurs se confirmer avec l’histoire du jeune garçon qui, étant faible, s’est retrouvé seul à subir la situation, sans pouvoir faire quoi que ce soit. Les vers sur la pluie et le vent ressemblent à de l’auto-persuasion.
Ensuite, Aramari tease qu’un jour, l’emblème finira par briller, révélant un pouvoir insoupçonné. On apprend ensuite qu’il y avait une jeune fille qui tentait d’aider notre héros et que sa simple aide signifiait beaucoup pour lui.
On a ensuite un saut dans le temps de dix ans avec une comparaison avec la foudre, pour rappeler la lignée du dieu du tonnerre.
Le chant d’Aramari est légèrement plus grave, indiquant qu’on a changé de personnage : elle joue désormais le rôle du garçon et on apprend qu’il est amoureux de la jeune fille, très probablement celle qui l’a aidé, mais il semble se résigner. En effet, cette dernière est la fille du chef du clan, son futur époux doit donc, selon la tradition, être décidé par un tournoi de force entre les prétendants. Le fait de remplacer la foudre par la puissance des paroles au chant laisse toujours supposer que le dieu du tonnerre aura un rôle important à jouer.
On passe à l’anniversaire de la jeune fille. Elle a désormais seize ans et il est temps de décider de son futur époux. Mais cela est interrompu par “la Troisième Tempête”. Les membres de l’Ordre Noir approchent, dans l’objectif de réaliser l’une de leurs prophéties. On apprend qu’ils essayent de réveiller l’ennemi contre lequel s’est battu le dieu du tonnerre il y a fort longtemps. Hélas, tout semble perdu d’avance car, aujourd’hui, de nombreuses générations se sont écoulées et les capacités du peuple ont diminué. Ils ne pourront rien faire contre le malin. Le peuple est terrifié et prend la fuite, paniqué.
On a ensuite un long pont accompagnés de bruits de monstre, montrant que l’Ordre Noir est en train de réveiller le malin. Jimang nous fait ensuite une description du malin et de sa force. Il détruit tout sur son passage et tue les soldats un à un. Enfin, l’épaule du jeune garçon se met à briller. Le dieu du tonnerre se réveille et s’adresse au jeune garçon. Il lui explique qu’il est l’élu et détaille son propre combat contre le malin. Il ajoute que s’il libère son pouvoir, le jeune garçon risque de perdre son bras droit, voire la vie. Mais il est prêt à prendre ce sacrifice, pour son peuple mais surtout pour celle qu’il aime.
Aramari reprend le chant dans une tessiture plus aiguë, montrant qu’elle joue le rôle de la jeune fille. Elle souhaite apporter son soutien au jeune garçon en lui venant en aide pour limiter les dégâts.
La fin de la chanson montre que leur duo a permis de sauver le peuple et de fonder une paix durable.
On a enfin un dialogue entre un petit-fils et sa grand-mère. Aramari joue les deux rôles mais on apprend plus tard que Jimang, qui narre la chanson depuis le début, joue en fait le rôle du petit-fils ayant grandi et qui, à la manière de sa grand-mère, nous transmet la légende. La grand-mère nous révèle le véritable sens de cette légende : ça n’est pas le pouvoir du dieu du tonnerre mais bien l’amour que se portent mutuellement et depuis le tout début le jeune garçon et la jeune fille.
06. Ark [Pico Magic Ver]
Cette version est donc un extrait de la chanson d’Elysion, ayant pour but de teaser la sortie de l’album.
La version complète de la chanson raconte l’histoire d’un frère et de sa sœur victimes d’une expérience. Cette dernière finit par tomber amoureuse de son frère mais apprend la vérité alors qu’il a refusé ses sentiments.
Avec cet extrait, on comprend très vaguement l’histoire. Il est facile d’imaginer que l’amour est en jeu mais on cerne encore très mal le contexte général.
07. Majo to Lafrenze [Pico Magic Ver]
Cette piste a le même objectif que la précédente mais est beaucoup plus détaillée. Premièrement, on est bien au début de la version complète de la chanson, contrairement à Ark. On a donc toute une narration qui est là pour poser le contexte. Aramari nous présente Lafrenze et Old Rose ainsi que leur relation.
C’est aussi la première fois qu’on entend Revo chanter.
Lafrenze est donc la gardienne des morts et ces derniers lui en veulent car elle ne les laisse pas s’échapper. Il nous manque encore pas mal de détails quant à la suite, quant au déroulé de l’histoire mais au moins, le contexte est clair.
08. Mahoutsukai Sarabanto
Beaucoup de monde se retrouvent pour cette chanson.
Jimang nous raconte d’abord la légende et sert de narrateur. Aramari, quant à elle, raconte l’histoire à travers le chant. Sarabante n’est interprété par personne, on vit juste son histoire. Jimang jouera plus tard le rôle de l’homme étrange et Haruka Shimotsuki interprètera le jeune fille de la lampe et la femme de Sarabante.
Sarabante voyage avec un dromadaire à la recherche du génie qui saura faire revivre sa femme. Il arrive en ville et croise un homme qui lui propose un marché : il lui donne la localisation de la lampe et Sarabante lui laisse un vœu. En effet, l’homme prétend être blessé à la jambe et ne peut pas entrer dans la grotte pour chercher la lampe.
Sarabante rentre donc et prend la lampe. La grotte s’effondre alors et Sarabante semble s’évanouir. On a alors le leitmotiv de Lost. Sarabante avait oublié les enseignements de sa femme. Il se les remémore. Il ne faut pas chercher à récupérer ce que l’on a perdu, mais plutôt se contenter de ce qu’on a.
Sarabante se réveille avec la jeune fille de la lampe. Elle lui propose trois vœux dont on apprendra le contenu un peu plus tard. Celle-ci se présente et précise que lorsque les vœux seront réalisés, elle rentrera dans la lampe pour de nombreuses années. Sarabante fait quand même ses vœux.
On apprend alors qu’il a souhaité un second dromadaire et que la jeune fille ne soit plus prisonnière de la lampe. Il a respecté sa part du marché en laissant le dernier vœu à l’homme.
09. Koibito o Uchiotoshita Hi
La chanson est chantée par Aramari. Elle a eu une version live différente, interprétée par Revo et une femme différente à chaque fois. Cette version ajoute un couplet et un refrain en supprimant la narration. On perd en détails narratifs pour gagner en musicalité et en sentiments.
La chanson commence directement avec le refrain et on apprend immédiatement que la femme a tué son amant.
On vit, à travers les couplets, ses derniers instants. Tout est encore assez flou. On apprend que l’homme sait que sa fin doit venir et qu’il a été maudit, mais on n’a pas encore les détails.
Dans le second refrain, on retrouve l’idée du samsara. Le couple espère ainsi se retrouver dans une prochaine vie.
On a ensuite une longue narration nous expliquant toute la situation : une légende raconte qu’il existe une bête. Cette bête, lorsqu’elle blesse un être humain, le transforme petit à petit, lentement mais sûrement en cette même bête. Cela se fait au fil des années et dans la douleur. Les deux amoureux se sont rencontrés alors qu’elle allait se faire attaquer par la bête. Lui l’a protégée, se faisant maudire et se condamnant. Par la suite, ils vécurent ensemble et aujourd’hui, l’homme est sur le point de perdre sa conscience humaine avant de devenir définitivement une bête. Pour éviter cela, les deux amants se sont promis qu’elle devrait le tuer avant de se donner la mort.
Lors du dernier refrain, la femme se suicide donc pour rejoindre son amant.
10. Gin'iro no Basha
Dans cette chanson, on retrouve le thème de l’hiver rappelant la mort, déjà introduit dans Chronicle. L’histoire est celle d’une mère et de son bébé qui fuient une calèche argentée en pleine tempête hivernale. En revanche, le bébé ne supporte pas le froid et finit par mourir. La mère l’enterre sous la neige et un homme trouve un peu plus tard le cadavre.
On a, dès le début de la chanson, une comparaison entre la calèche et une tempête, rappelant le vent et les conditions météorologiques.
Le refrain, en anglais, est presque sarcastique. Il aborde sur un ton léger la mort d’un enfant. Les applaudissements en fond et le pont à l’accordéon sur un ton joyeux renforcent ce sentiment.
11. Tanatosu no Gensou wa Owaranai...
Cette chanson est donc la suite de l’album Thanatos. On y retrouve les thèmes musicaux majeurs de l’album repris au violon et dans une tonalité et une rythmique lente pour susciter l’émotion.
Thanako raconte que les nuits de Pleine Lune, elle rêve de la mort. Elle a peur de la mort et de ce monde.
Le thème est ensuite repris par les chœurs sous la forme de “lan lan lan” pour rappeler Thanatos.
On a ensuite tout un passage sur les notions de vie et de mort, comme si Revo teasait presque déjà Roman. Thanako nous présente ensuite les trois premiers Horizons. De cette manière, Revo commence à créer un grand tout, quelque chose qui lie tous les Horizons.
La fin de la chanson montre sa peur. Elle sait qu’il l’observe, quelque part, qu’il attend le bon moment pour l’emmener avec lui.
Bonus Extra Track 1. Jumon Kaimei! Pico Majin ☆
Il s’agit de la chanson Onegai! Pico Majin ☆ mais jouée à l’envers. De ce fait, le passage qui était à l’envers dans la piste originale, revient à l’endroit.
On apprend qu’il s’agit donc d’une anecdote entre Revo et Aramari. Cette dernière lui dit qu’elle ne supporte pas les plats épicés et Revo l’invite dans un restaurant indien. Évidemment, la suite n’est pas bien difficile à deviner…
Bonus Extra Track 2. Rinne no Gyakusaisei
Rinne no Gyakusaisei reprend Rinne no Sunadokei (absente de cet album) à l’envers, ceci ayant pour objectif de montrer l’idée de cycle : le début mène à la fin mais la fin mène aussi au début.
Bonus Extra Track 3. Kousoku no Mahoutsukai
Il s'agit d'une version accélérée de Mahoutsukai Sarabanto.
Bonus Extra Track 4. Chronicle 2nd CM
Il s’agit d’une petite bande-annonce de Chronicle 2nd.
Ⅲ) Conclusion
Cet album a une place particulière car il permet de synthétiser tout ce qui a déjà été fait jusqu’à aujourd’hui tout en annonçant les prochains projets.
3rd Story CD 『Lost』
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